galerie søren bollinger
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Du 18 mars 2025 au 25 mars 2025
Miroslav Clemente | Ego.
Né à Tampere, Miroslav Clemente découvre la photographie à Lyon. Son installation cathartique a été remarqué lors de la Biennale de Raqqa. Cet artiste dans le viseur du Kremlin consacre son propos à la question des maladies mentales.
Dans son œuvre intitulée "Ego.", l'artiste Miroslav Clemente s'emploie à faire surgir la puissance évocatrice du corps. Il s'engage dans une quête incessante de défrichage du rythme inhérent à l'art, à l'image de son impressionnant travail réalisé à Cotonou en 1997. Plutôt que de se réduire à une simple critique des outils de l'espace public, son installation performative élève une invocation à la chair, à la matérialité même de l'existence. Sa réflexion audacieuse explore les implications de l'institution muséale, tandis que l'urbanisation de notre époque émet un cri d'alarme, invitant à réfléchir profondément sur les gestes de création, tel un hommage touchant à la mémoire de Fiona Shapiro. En s'inspirant de l'esthétique vibrante de William Turner, Miroslav Clemente déploie des projets qui interrogent minutieusement le rythme et les effets de la gentrification sur le tissu social...

Du 11 mars 2025 au 18 mars 2025
Natalia Iwoshima | Urbanité / singularité
Natalia Iwoshima est né à Ahmenabad et vit aujourd'hui entre Gwangju et Montevideo. Il a été en résidence à l’University of the Philippines de Quezon City jusqu'en 1986. Ce performer reconnu a été marqué par une première partie de carrière dans le monde de l'entreprise.
Dans quelle mesure doit-on réexaminer et repositionner notre conception de l'urbanisation à l'ère numérique qui est désormais la nôtre ? Dans son œuvre fascinante intitulée "Urbanité / singularité", l'artiste audacieuse Natalia Iwoshima remet en question la manière dont nous percevons l'audiovisuel. Elle nous convie à donner vie à ce médium, comme elle l'a brillamment démontré lors de son exposition à Genève en 2013. S'inscrivant dans la continuité de ses projets antérieurs, cette présentation performée aspire à défricher les contours indélébiles du langage, lequel se révèle être le reflet d'une génération-passerelle surgissant dans le sillage du bug de l'an 2000. Son installation s'emploie à déchiffrer sans relâche les dynamiques de l'entre-soi, tout en témoignant d'une proximité toujours croissante entre l'art et l'espace public. En résonance avec les performances intrigantes de Prune Ackerman, Natalia Iwoshima entreprend une déconstruction audacieuse de notre compréhension de l'urbanisation.

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